En 867, le Roi de Provence a donné Château Unang à l’Eveche de Venasque. Le village voisin de Venasque était la capitale du Comtat Venaissin jusqu’à 1320, lorsque le gouvernement s’installait à Carpentras. L’état Venaissin (de comtat) était une enclave indépendante en France qui est venu de fournir une maison à la Curie Romaine et par la suite a donné naissance au Vin du Pape, c’est-à-dire, Châteauneuf-du-Pape. Pour plus de 800 ans, Unang a été transmis d’une évêque à un autre, jusqu’à ce qu’il est été vendu à la fin du 17ème siècle (contrôle des Papes du Comtat a continué jusqu’en 1791, quand la France a absorbé l’enclave). Il est supposé que, depuis le 9ème siècle, une croix se trouvait au-dessus de la colline de Unang.
Dans la fin du 18e siècle, un aristocrate italien s’est marié dans la famille qui possédait Unang. Par la suite, le château a été restauré et un jardin à la française a été conçu à l’étape de la colline, en suivant le chemin d’une source naturelle. Trois jardins en terrasses ont été plantés, chacun ancré par une fontaine alimentée par la source. En 1882, une croix de bois de six mètres a été monté sur un socle en pierre sur la colline, une restauration de la croix antérieure. Frustrant, la date initiale de la croix et d’autres inscriptions dans la pierre ont disparu; une grande partie de cette histoire, aussi bien que les origines du nom Unang, ont été perdues.
La propriété est située au fond de la queue de la vallée de la Nesque, nommée d’après la rivière la Nesque qui coule du haut plateau du Vaucluse à l’est et traverse une gorge calcaire accidentée. Unang est un domaine isolé autonome avec, curieusement, sa propre catégorie géologique: les sables de Unang. Il s’agit d’un type particulier de sol sablonneux qui couvre le calcaire. En dehors de la colline de Unang, des poches de sables de Unang se trouvent également dans l’AOC Gigondas.